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RESTAURATION                                                 La Décapotable du président                        De 1998 à 2003, découvrez la restauration d'une découvrable millésime 1955     ÉPISODE 1 :  la découverte C'est lors d'Epoqu'auto 98, que, au détour d'une allée ( le vendredi ... ), je tombais nez à nez avec cette annonce :   " Vends 4CV décapotable à restaurer, s'adresser au stand  ". Recherchant  à  l'époque  une  découvrable à restaurer,  je demandais  donc au vendeur des précisions supplémentaires. Celui-ci  me montra les deux photos ci-dessous en me précisant  que la voiture se trouvait en région parisienne, était en mauvais état ( ... ),  incomplète mais  d'origine Renault,  possédait sa capote et ses arceaux, et que le prix n'était pas à débattre !   Au vu des photos,  je me doutais bien que le travail était important, mais, je n' imaginait pas ce qui m'attendais...  Après  une  longue  réflexion ... d'une dizaine de secondes !  je  signais   un chèque de réservation,  et vogue la galère...            Voilà comment se présente une découvrable à restaurer... Allez, au boulot !              Quelques jours plus tard, première rencontre et premier choc : la caisse est complètement pourrie au  niveau des triangles AV et des bas de caisse (classique...),  mais également au niveau  des  planchers  et  de la jupe AR ( plus ennuyeux ).  De plus,  le train arrière à été  prélevé  sur  une  Dauphine.   Devant  la  perspective  de  travaux  importants,   je  devins  hésitant  sur la suite à donner  à  la transaction.  Sentant  bien  ma réticence,  le vendeur  me sort  alors son  joker   ultime :  " En plus,   je vous offre la berline qui se trouve devant,  elle vous servira de stock de pièces  ". Bien  que je ne me réjouissais  pas  particulièrement  de  devoir  refaire  un  deuxième  voyage avec  plateau de plus de  1000Kms,   je me dit alors qu'il n'a sans doute pas tort,  et je concluais donc la  vente  en  pensant  qu'ainsi,  je gagnerai du  temps dans la restauration...       En  fait,  très  peu de pièces seront        prélevées sur le deuxième véhicule,      la  tôlerie  s'avérant pourrie, et les       parties récupérables, non conforme        au millésime 55.     ÉPISODE  2  :  État des lieux De retour à Lyon,  un état des lieux complet s'imposait donc, afin d'évaluer précisément les    travaux à entreprendre.   Vu son état,  j'optais pour un sablage total de la caisse afin de mieux cerner les différentes  parties à remplacer.       Voila ce qui reste de la sellerie ! La capote possède ses arceaux, mais  malheureusement  pas  sa lunette AR en alu... Bien souvent dans les années 50,  la lunette AR d'origine en aluminium étant    trop petite, on la remplaçait par un modèle en plexiglas de taille supérieure. ÉPISODE  3  :   Sablage   1 tonne de sable aura été nécessaire pour  venir à  bout  de  45 années de rouille  et  moisissures  diverses.  Je conseille  fortement  cette opération à  tout  ceux  qui  veulent  restaurer  entièrement  leur  auto.  Néanmoins, il  faut  modérer  son  ardeur lors du sablage,  la tôle ayant tendance à se déformer  si  on  insiste un  peu trop.                                                                                         Pour voir la suite,  cliquez ici       Page 2     Page 3     Page 4     Page 5     Page 6       Page 7      Page 8                                                                     Haut de page

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